Sile volume d’un AirPod est faible. Si l’AirPod gauche ou droit n’émet aucun son, ou si le volume est trop faible, procĂ©dez comme suit : VĂ©rifiez la grille du microphone et du haut-parleur de chaque AirPod. Si vous voyez des impuretĂ©s, nettoyez vos AirPods en suivant les instructions de cet article, et voyez si cela permet de Vay Tiền Nhanh Chỉ Cáș§n Cmnd Nợ Xáș„u. MA VIE AU POSTE, LA CHRONIQUE DE SAMUEL GONTIER - CoĂŻncidence ou pas, tous les piliers “de gauche” de CNews rejettent la Nupes Nouvelle Union populaire Ă©cologique et sociale. La chaĂźne ne peut plus faire illusion, ce sont la droite extrĂȘme et l’extrĂȘme droite qui animent ses discussions. Au programme comment noyer les “migrants” ? Les alliĂ©s de MĂ©lenchon sont-ils d’extrĂȘme gauche, lĂ©ninistes ou communautaristes ? Et Dieu
 pardon, Zemmour, dans tout ça ? Le point info, l’essentiel de l’actualitĂ© », annonce le prĂ©sentateur de CNews. Depuis peu, la chaĂźne bollorĂ©enne ne se fatigue plus Ă  produire des flashs toutes les heures. Elle se contente de diffuser tous les quarts d’heure trois infos en une minute d’images. Par exemple, samedi dernier Le parti ReconquĂȘte ! se prĂ©pare aux lĂ©gislatives, ses cinq cent cinquante candidats se sont rĂ©unis Ă  Paris. » Suivent la victoire Ă©lectorale du Sinn Fein en Irlande du Nord et un mot de sport finale de la Coupe de France »  Rappelons que, ce samedi, il y a aussi entre autres une guerre en Ukraine, la rĂ©-investiture d’Emmanuel Macron, le lancement par LR de sa campagne pour les lĂ©gislatives, la convention fondatrice de la Nouvelle Union populaire Ă©cologique et sociale Nupes. Mais CNews choisit de mettre Zemmour Ă  la une. Sans doute faut-il s’attendre Ă  un raz-de-marĂ©e de son parti Ă  l’AssemblĂ©e nationale. Quoique AprĂšs sa dĂ©ception de la prĂ©sidentielle, le jeune parti d’Éric Zemmour redoute un vote utile en faveur du RN. » Voter pour l’extrĂȘme droite, c’est toujours utile. © CNews En plateau, les experts de CNews Ă©voquent le discours du prĂ©sident réélu lors se sa cĂ©rĂ©monie d’investiture. Le dĂ©bat est vif, Alexandre Devecchio s’indigne Christian Prouteau disait “Y a la guerre en Ukraine”, mais y a une forme de relativisme lĂ -dedans ! Y a aussi la guerre chez nous. » Pas plus tard qu’hier, un missile islamiste est tombĂ© sur une Ă©cole, causant soixante morts. C’est pas juste un problĂšme gĂ©opolitique, c’est un problĂšme interne d’une immigration dĂ©sintĂ©grĂ©e. » Des immigrĂ©s massacrent des civils par centaines dans nos villages. On va parler des traversĂ©es clandestines de la Manche, enchaĂźne le prĂ©sentateur. Puisque c’est un sujet, l’immigration, qui n’a pas Ă©tĂ© Ă©voquĂ© par le chef de l’État dans son discours. » Heureusement, CNews est lĂ  pour combler les lacunes du prĂ©sident. Un reportage trĂšs prĂ©cisĂ©ment situĂ© dans la Manche, ce lundi » dĂ©sespĂšre Plus de sept mille migrants ont rĂ©ussi Ă  traverser la Manche depuis le 1er janvier, trois fois plus que l’an dernier Ă  la mĂȘme pĂ©riode. MĂȘme le mauvais temps ne semble plus dĂ©courager les candidats au dĂ©part. » Ils prĂ©fĂšrent quitter leurs chaleureux foyers d’accueil. Les autoritĂ©s craignent que les passages de migrants atteignent des records. » Aucune crainte sur le nombre de noyĂ©s. En studio, François Pupponi, ex-PS passĂ© chez Territoires de progrĂšs une cabine tĂ©lĂ©phonique de LREM, certifie Ce sera un des sujets des cinq prochaines annĂ©es, c’est Ă©vident. » Sur CNews, c’est fatal. Comment on explique que ces chiffres explosent ? » s’étonne le prĂ©sentateur. Alexandre Devecchio Ça revient chaque annĂ©e avec le beau temps. » MalgrĂ© les mirifiques conditions de vie offertes par les autoritĂ©s françaises, c’est Ă©trange. Au niveau europĂ©en, on a Ă©chouĂ© Ă  contrĂŽler nos frontiĂšres, notamment maritimes. » On n’a mĂȘme pas noyĂ© la moitiĂ© des exilĂ©s. Le patron de Frontex vient de dĂ©missionner parce qu’il voulait en faire une police aux frontiĂšres
 » Ou parce que Frontex ne respectait pas les droits fondamentaux, procĂ©dant Ă  des refoulements illĂ©gaux. Alexandre Devecchio se dĂ©sole La Commission europĂ©enne, par idĂ©ologie, veut que Frontex devienne une sorte d’ONG qui contrĂŽle que les droits fondamentaux des migrants sont bien respectĂ©s. » Comme si les migrants » avaient des droits. Y a un problĂšme de volontĂ© politique et d’idĂ©ologie. » L’éditorialiste du Figaro, lui, est dĂ©pourvu d’idĂ©ologie. Christian Prouteau a beau objecter que techniquement, c’est difficile », Alexandre Devecchio insiste Mais lĂ  on avait un patron de Frontex qui Ă©tait prĂȘt Ă  relever le dĂ©fi technique. » Au moyen d’une grande innovation, la noyade. Il a Ă©tĂ© virĂ© parce qu’on a estimĂ© qu’il y avait un droit fondamental Ă  entrer en Europe. » Vous verrez qu’on brandira bientĂŽt un prĂ©tendu droit d’asile. La Commission a un logiciel totalement transfrontiĂ©riste. » Elle est Ă  la solde des antifas no border. © CNews Si personne ne s’oppose alors Ă  Alexandre Devecchio, l’éditorialiste est confrontĂ© la veille Ă  un adversaire coriace, vĂ©ritable homme de gauche, cacique du PS, interrogĂ© sur l’accord avec LFI. J’étais content de ne pas ĂȘtre prĂ©sent hier au conseil national du PS, confie Julien Dray. Connaissant mon caractĂšre mĂ©diterranĂ©en, je ne suis pas sĂ»r que j’aurais gardĂ© mon calme vu les arguments avancĂ©s pour emporter l’accord. » Il faut ĂȘtre picard pour les supporter. C’est la fin du Parti socialiste, il va falloir en faire un autre. » On pourrait l’appeler LREM. Il a perdu son Ăąme, il s’est soldĂ© pour pas cher. J’en suis parti parce que je leur proposais tout ce que je savais et, Ă  chaque fois, on n’en a pas tenu compte. » Pauvre Julien Dray, ostracisĂ© malgrĂ© ses gĂ©niales idĂ©es. À la prĂ©sidentielle, y a pas eu une idĂ©e forte
 Vous savez ce que je pense pour la laĂŻcité  » Oui, comme Zineb El Rhazoui, Papacito et le Printemps rĂ©publicain. 
 La dĂ©faite de 2002 a entraĂźnĂ© cette fainĂ©antise intellectuelle. » Pour le courage intellectuel, regardez CNews. Je m’inquiĂšte tout de mĂȘme pour la chaĂźne de BollorĂ©. Depuis que le PS a rejoint la Nupes, comment va-t-elle remplir ses obligations de pluralisme si la plupart de ses invitĂ©s permanents, jusque-lĂ  cataloguĂ©s de gauche », s’en dĂ©solidarisent ? Comment sera dĂ©comptĂ© le temps de parole des Julien Dray, Laurent Joffrin, François Pupponi, Manuel Valls qui alterne avec BFMTV ou Caroline Fourest qui prĂ©fĂšre LCI ? L’Arcom ex-CSA risque de s’apercevoir qu’un dĂ©bat entre Julien Dray et Alexandre Devecchio oppose la droite Ă  l’extrĂȘme droite. Et CNews sera obligĂ©e d’embaucher Edwy Plenel comme chroniqueur. Nan, je dĂ©conne. Si l’Arcom avait constatĂ© qu’elle bafoue sa convention de chaĂźne d’information, et non d’opinion, ça ferait longtemps qu’elle lui aurait retirĂ© sa frĂ©quence attribuĂ©e gratuitement. © CNews Samedi, c’est un autre homme de gauche, François Pupponi, qui tĂ©moigne de l’unanime rejet de la Nupes J’étais sur les marchĂ©s ce matin et beaucoup de militants socialistes me disaient “On peut pas aller avec MĂ©lenchon.” » Curieusement, les soutiens de la Nupes ne se prĂ©cipitaient pas vers le pilier de CNews. Y a un gros malaise Ă  gauche », rĂ©sume le prĂ©sentateur, qui propose On finit sur Éric Zemmour. » Un reporter rapporte qu’ Éric Zemmour est revenu sur l’alliance autour de Jean-Luc MĂ©lenchon » et fait entendre l’extrait C’est le mariage de la carpe et du lapin, des anciens laĂŻcards et des nouveaux islamistes, des rĂ©publicains et des indigĂ©nistes, des nageuses en burkini et des zadistes en poncho. » Et non l’inverse. Ça fait bien rire Alexandre Devecchio, rĂ©putĂ© pour son sens de l’humour. L’heure suivante, Eliot Deval annonce On va dĂ©tailler cette Nouvelle Union populaire Ă©cologique et socialiste
 C’est pas facile Ă  dire. » Tous ces mots compliquĂ©s
 Immigrationniste, dĂ©croissantiste et islamo-gauchiste, ça aurait quand mĂȘme Ă©tĂ© plus simple. Est-ce que c’est une union de la gauche ou de l’extrĂȘme gauche ? » La question, elle est vite rĂ©pondue par Gabrielle Cluzel C’est un rassemblement sous la houlette de l’extrĂȘme gauche. » La preuve, le NPA n’a pas voulu le rejoindre. On parle d’extrĂȘme droite quand on parle de Marine Le Pen mais jamais d’extrĂȘme gauche quand on parle de LFI. » Sauf sur tous les plateaux tĂ©lĂ©. Il ne faut pas avoir peur des mots, c’est l’extrĂȘme gauche qui triomphe. » © CNews Face Ă  l’éditorialiste de Boulevard Voltaire, le politologue JĂ©rĂŽme Sainte-Marie conteste De la mĂȘme maniĂšre que le RN n’est pas d’extrĂȘme droite, LFI n’est pas d’extrĂȘme gauche. C’est des gens qui n’ont aucune connaissance du marxisme
 » Pas plus que les militants du RN du nazisme quand ils font des saluts hitlĂ©riens. 
 Qui n’ont pas un projet lĂ©niniste. » LĂ©niniste, peut-ĂȘtre pas, mais brejnĂ©vien, c’est certain. Jean-Michel Aphatie l’a trĂšs bien expliquĂ© dans un tweet oĂč il illustre les dissensions au sein de la Nupes avec des livres du dissident Alexandre Zinoviev MĂ©lenchon, c’est Brejnev, et Dray, c’est Zinoviev. C’est une gauche agitĂ©e, exagĂ©rĂ©e, poursuit JĂ©rĂŽme Sainte-Marie, mais c’est pas des gens qui veulent rĂ©ellement changer le cours des choses. » Ils sont sous le charme du nĂ©olibĂ©ralisme. Seule particularitĂ©, ils veulent avoir une politique migratoire qui ressemble Ă  une politique no border, de frontiĂšres ouvertes ». C’est donc la Nupes qui a infiltrĂ© la Commission europĂ©enne. Ils sont extrĂ©mistes, maintient Gabrielle Cluzel, ça reste la France du grand soir. » Aphatie a raison, ils vont instaurer les soviets. Ils ont une bienveillance pour tous les mouvements d’ultragauche, antifas, black blocs qui pourrissent la dĂ©mocratie. » Les militants de GĂ©nĂ©ration identitaire, eux, la revivifient. Si vous voulez me faire dire que tout ça c’est du cirque, je suis d’accord, convient JĂ©rĂŽme Sainte-Marie. On a des gens qui s’appellent Insoumis alors qu’ils sont prĂȘts Ă  toutes sortes de compromissions. » Avec le grand capital. Mais ils sont toujours dans cette fantasmagorie de “no pasarĂĄn”, c’est la guerre d’Espagne tous les jours. » Comme si l’extrĂȘme droite existait en France. J’habite dans le 11e arrondissement, je vois trĂšs bien les bobos, les librairies
 » Aucun livre de Thierry Marx. Ce petit monde s’est construit un univers totalement onirique et hĂ©roĂŻque alors que ce sont des gens qui se bougent trĂšs peu. » Sauf pour aller dans leur Ă©picerie vegan. © CNews Eliot Deval fait entendre les propos de Jean-Luc MĂ©lenchon contre la police » Le syndicat Alliance rĂ©clame de pouvoir tirer sur les gens, sans que le ministre de l’IntĂ©rieur ne dise un mot. Ce syndicat factieux dĂ©clare que le problĂšme de ce pays, c’est la justice, et personne n’a rien Ă  dire. » Eliot Deval rebondit Gabrielle Cluzel, vous vous avez quelque chose Ă  dire. » Ouf, elle sauve l’honneur de la police Propos absolument scandaleux, irresponsables ! Tout lui est permis alors qu’à droite on ne sait plus quoi faire pour montrer qu’on est gentil. » Avec les flics. On l’a vu avec Marine Le Pen qui n’ose pas se rapprocher d’Éric Zemmour parce que ça risque de faire peur. » Et pas du tout parce qu’elle veut tuer dans l’Ɠuf le mouvement de son rival. Cela montre bien quelle est la pensĂ©e dominante dans ce pays. » La pensĂ©e d’extrĂȘme gauche, CNews le prouve tous les jours. Il embarque toute la gauche dans cette confrontation avec la police ? s’alarme Eliot Deval. — Il cherche surtout Ă  effacer les traces rĂ©centes, son soutien implicite Ă  Emmanuel Macron, estime JĂ©rĂŽme Sainte-Marie. Il a poussĂ© ses Ă©lecteurs Ă  voter pour Emmanuel Macron, contre le choix des catĂ©gories populaires qui, elles, ont votĂ© massivement pour Marine Le Pen. » CoĂŻncidence, Marine Le Pen fait la mĂȘme analyse, elle accuse MĂ©lenchon d’avoir empĂȘchĂ© son Ă©lection en jouant le bouffon du roi » Macron. Comme quoi, la candidate du RN est aussi perspicace que les meilleurs politologues de CNews. Il parle Ă  un public de beaucoup de musulmans, de quartiers en banlieue
 » Les indigĂ©nistes. 
 Au monde des fonctionnaires, de la dĂ©pense publique
 » Beurk, la dĂ©pense publique. 
 Et aussi Ă  la petite bourgeoisie urbaine qui a votĂ© contre les catĂ©gories populaires lors du second tour de la prĂ©sidentielle. » Et pour les musulmans des quartiers. © CNews Je suis assez d’accord, dit Gabrielle Cluzel. Il a clairement appelĂ© Ă  voter Emmanuel Macron. Et puis il a abandonnĂ© le social au profit de l’immigrationnisme. Qu’est-ce qui le sĂ©pare de Marine Le Pen ? Il a sacrifiĂ© le social, tant pis, la retraite Ă  65 ans c’est pas si grave comparĂ© Ă  l’immigration. » Il prĂ©fĂšre l’immigration au programme socialiste » du RN. Eliot Deval rapporte une nouvelle attaque contre Marine Le Pen qui selon Jean-Luc MĂ©lenchon ne sert Ă  rien. — S’il continue Ă  parler du RN, dĂ©crypte JĂ©rĂŽme Sainte-Marie, c’est parce que c’est le seul liant de cette gauche. Les sympathisants socialistes ou des Verts ont une bonne opinion d’Emmanuel Macron ». Ils vont voter LREM aux lĂ©gislatives. Gabrielle Cluzel insiste En rĂ©alitĂ©, la contradiction de LFI, qu’ils n’arrivent pas Ă  rĂ©soudre, c’est la question de l’immigration, on en revient toujours lĂ . » Sur CNews. Il y a plusieurs lignes au sein de LFI, nuance JĂ©rĂŽme Sainte-Marie. Il y a M. Ruffin qui est dans une circonscription Ă  la fois rurale et industrielle alors que des gens comme le dĂ©putĂ© Coquerel de Seine-Saint-Denis eux ont pratiquĂ© la recherche assidue d’un vote musulman et d’origine immigrĂ©e. » Il devrait ĂȘtre emprisonnĂ© en vertu de la loi contre le communautarisme. Jean-Luc MĂ©lenchon est allĂ© jusqu’à invoquer ce concept Ă©trange de crĂ©olisation. » Repris Ă  un Ă©crivain antillais Édouard Glissant, c’est vous dire s’il est Ă©trange. © CNews Plus tard dans la soirĂ©e, Eliot Deval prĂ©sente de nouveaux invitĂ©s que des hommes, dont François Devoyer, cofondateur du mĂ©dia Livre noir ». Chouette, un nouveau mĂ©dia a droit de citĂ© sur CNews, ça va changer de Boulevard Voltaire, Causeur, L’Incorrect, Valeurs actuelles, etc. Vous avez rĂ©guliĂšrement interrogĂ© Éric Zemmour. » Preuve d’un journalisme de qualitĂ©. On peut retrouver ces entretiens sur les rĂ©seaux sociaux, y a mĂȘme une petite sĂ©quence oĂč Éric Zemmour joue au foot, c’est drĂŽle. » Je me marre. Il est avec des agriculteurs et puis il a un ballon, il commence Ă  jouer, j’invite les tĂ©lĂ©spectateurs Ă  regarder, c’est assez drĂŽle. » ArrĂȘtez, je n’en peux plus de rire. Ma vie au poste, la chronique de Samuel Gontier politique parti socialiste extrĂȘme droite CNews Partager Contribuer PrĂ©sidentielle 2022 MĂ©lenchon ne croit "pas du tout" Ă  l'union de la gauche Le chef de file de la France insoumise estime qu'une alliance avec Jadot, Hidalgo ou Roussel n'aurait dĂ©sormais "pas de sens." Edgard Garrido via Reuters Jean-Luc MĂ©lenchon ici le 9 septembre 2019 ne croit "pas du tout" Ă  l'union de la gauche Edgard Garrido via Reuters POLITIQUE - “Je le savais depuis le dĂ©but.” Jean-Luc MĂ©lenchon a expliquĂ© ce mardi 19 octobre sur BFMTV et RMC qu’il ne croyait pas “du tout” Ă  l’union de la gauche pour l’élection prĂ©sidentielle. Pour le chef de file de la France insoumise, crĂ©ditĂ© d’environ 10% des intentions de vote Ă  six mois du scrutin, cela “n’a pas de sens.” “Quand j’ai dĂ©cidĂ© de prĂ©senter ma candidature en novembre dernier c’est parce que je savais que les autres allaient en faire autant”, a-t-il ainsi expliquĂ© face Ă  Jean-Jacques Bourdin, comme vous pouvez le voir ci-dessous, avant de pointer le fait que son camp n’est pas le seul Ă  ĂȘtre divisĂ© en cet automne “la droite est bien plus explosĂ©e, mĂȘme l’extrĂȘme droite est explosĂ©e. Le tableau est en train de se rĂ©organiser parce qu’il a explosĂ© en 2017, et la droite comme le parti socialiste ne s’en sont pas remis.” Dans ce contexte, “des forces politiques nouvelles s’avancent sur la scĂšne”. Et si le dĂ©putĂ© des Bouches-du-RhĂŽne ne veut plus entendre parler d’un rassemblement des diffĂ©rents candidats de gauche, il estime la victoire toujours possible au printemps prochain pour son camp, celui “du pĂŽle populaire, des partageux”. C’est en tout cas ce qu’il martelait, dimanche, malgrĂ© des sondages dĂ©licats, face aux 2000 militants de la France insoumise, rĂ©unis Ă  Reims pour la clĂŽture de leur convention. “La victoire est possible, ne croyez pas que je le dise parce que j’en ai aussi follement envie que vous, mais parce que la France, qui se cherche Ă  tĂątons, trouvera son chemin comme toujours dans l’Histoire Ă  partir de la volontĂ© de son peuple vivre bien, vivre mieux, ensemble, sans haine, sans guerre de religion, sans Ă©goĂŻsme, dans le partage”, lançait-il, dans un appel aux jeunes et aux abstentionnistes “Ce monde est beau et vous mĂ©ritez un monde moins moche que celui qu’ils se prĂ©parent Ă  vous laisser.” Dans notre compilateur de sondages de la prĂ©sidentielle, Jean-Luc MĂ©lenchon apparait comme le candidat de gauche le mieux placĂ©. Avec 8,3% en moyenne sur les cinq derniĂšres enquĂȘtes, il devance l’écologiste Yannick Jadot 7,1% la socialiste Anne Hidalgo 4,7%. À voir Ă©galement sur Le HuffPost Pourquoi les prix du gaz ne cessent d’augmenter et c’est pas fini La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 9 lettres et commence par la lettre Z CodyCross Solution ✅ pour NE PAS ALLER DROIT MAIS DE GAUCHE À DROITE de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Voici Les Solutions de CodyCross pour "NE PAS ALLER DROIT MAIS DE GAUCHE À DROITE" CodyCross GrĂšce Groupe 671 Grille 1 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 Partagez cette question et demandez de l'aide Ă  vos amis! Recommander une rĂ©ponse ? Connaissez-vous la rĂ©ponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! CODYCROSS GrĂšce Solution 671 Groupe 1 Similaires Successivement invitĂ© de CNews, France 2, BFMTV et encore CNews, Michel Onfray a pu prĂ©tendre Ă  loisir qu’on ne peut plus rien dire. Le prĂ©tendu “philosophe” sauf quand ça ne l’arrange pas, vĂ©ritable “homme de gauche” comme Laurent Ruquier, Éric Zemmour, Thierry Ardisson et Christophe Barbier, n’a pas seulement fait la preuve de sa communautĂ© d’esprit avec l’extrĂȘme droite, il a aussi dĂ©montrĂ© la vacuitĂ© et la versatilitĂ© de sa “pensĂ©e”. Bonjour, Michel Onfray, bienvenue dans la matinale de CNews », salue Laurence Ferrari vendredi matin. Bonsoir, Michel Onfray, heureux de vous revoir », salue Laurent Ruquier samedi soir sur France 2. Bonsoir Michel Onfray », salue Jean-Baptiste Boursier dimanche soir sur BFMTV. Nous sommes avec Michel Onfray, bonsoir », re-salue sur Laurence Ferrari lundi soir sur CNews. Vos positions sont courageuses, admire Laurent Ruquier. Votre radicalisation vous interdit parfois d’aller sur certaines radios, dans certaines Ă©missions. On n’accepte plus Michel Onfray partout. » Seulement sur CNews, BFMTV, LCI, France 5, France 2, etc. © France 2 L’intĂ©ressĂ© confirme Si vous ne pensez pas comme il faut penser, on vous met Ă  la porte, on vous interdit, on vous insulte, on vous prive de service public
 Merci, Laurent, vous dĂ©rogez Ă  la rĂšgle. » Le promoteur de Zemmour reste l’un des derniers remparts du service public contre la bien-pensance. En rĂ©sumĂ©, se plaint l’invitĂ©, le dĂ©bat n’est plus possible ». Sauf sur CNews, BFMTV, etc. MĂȘme si, en fait de dĂ©bat », c’est Ă  un monologue du philosophe » devant des interlocuteurs ravis que les tĂ©lĂ©spectateurs ont droit. Seule BFMTV se dĂ©marque, et c’est notable. Moi, je suis de la vieille gauche, du cĂŽtĂ© des oubliĂ©s », clame Michel Onfray face Ă  Laurence Ferrari. Vous vous dĂ©finissez comme un homme de gauche », rappelle Jean-Baptiste Boursier sur BFMTV. J’ai une pensĂ©e politique de gauche », insiste Michel Onfray sur France 2. Donc vous ĂȘtes encore de gauche, au fond », valide Laurent Ruquier. © France 2 Y a une montĂ©e de l’insĂ©curitĂ©, assure Laurence Ferrari sur la foi d’absence de sources. Des agressions contre des policiers Ă  Bordeaux, Ă  Beauvais oĂč il y a eu trois nuits de violences urbaines
 » Michel Onfray dĂ©nonce une guerre des tribus ». De sauvages. La rĂ©volution Ă  faire, plaide-t-il, ce serait de respecter le droit français. S’il y a des Ă©trangers qui sont ici sans papiers, ils sont dans l’illĂ©galitĂ©. » C’est la faute des Ă©trangers s’il y a des violences. © CNews Laurence Ferrari Ă©voque le projet de rĂ©forme de la justice d’Éric Dupond-Moretti. Évidemment que la rĂ©duction automatique des peines, il faut revenir dessus ? » Michel Onfray plussoie C’est une idĂ©e qui me paraĂźt juste. Si les gens se sont mal comportĂ©s Ă  l’intĂ©rieur de la prison, ça doit pouvoir ĂȘtre pris en considĂ©ration. » Euh
 c’est dĂ©jĂ  pris en considĂ©ration la rĂ©duction automatique ne s’applique pas aux dĂ©tenus coupables d’une mauvaise conduite. L’automaticitĂ© de la remise de peine, c’est une invitation Ă  se comporter n’importe comment. » L’automaticitĂ© de la propagation de fake news, c’est une incitation Ă  se pavaner sur CNews. La laĂŻcitĂ© recule chez les lycĂ©ens, reprend Laurence Ferrari. Selon un sondage, 52 % sont favorables au port des signes religieux ostensibles. C’est un Ă©chec collectif ? – Oui, rĂ©pond Michel Onfray, parce qu’on peut pas parler de l’islam aujourd’hui. » Euh
 quel rapport avec l’islam ? L’Ifop n’a pas interrogĂ© des musulmans mais des lycĂ©ens ». Laurence Ferrari ne relĂšve pas la duperie de son invitĂ©. Pas plus que Jean-Baptiste Boursier citant sur BFMTV le mĂȘme sondage et demandant Comment vous analysez ça ? — L’islam propose une identitĂ©, donne des repĂšres. » Quel islam ? OĂč est-il question d’islam ? Sinon dans les obsessions de Michel Onfray
 © CNews Michel Onfray s’en prend aux mĂ©dias complices. On rend possible la transmission de l’idĂ©ologie du dĂ©colonialisme ou du racialisme Ă  la tĂ©lĂ©vision. » Seule CNews y Ă©chappe. Y a du message subliminal dans les publicitĂ©s Ă  chaque fois. » On ne compte plus les pubs pour les bagnoles truffĂ©es d’insidieux panĂ©gyriques. C’est interdit de faire fonctionner son esprit critique. La philosophie, c’est terminĂ©. » Non seulement on ne peut plus rien dire mais on ne peut plus rien philosopher. Laurence Ferrari promeut le livre de son invitĂ©, qui en explique l’origine Je me suis trouvĂ© dans un lit d’hĂŽpital et je regardais les informations, et je me suis mis Ă  faire des captures. On trouve au moins une bĂȘtise par jour. » Pareil sur France 2 Je me suis trouvĂ© un jour dans un lit d’hĂŽpital 
 » Pareil sur BFMTV 
 Une bĂȘtise par jour au moins. » © CNews Sur CNews, Michel Onfray se revendique de Voltaire Y a matiĂšre Ă  l’ironie voltairienne. Ça reste trĂšs français, l’humour de Voltaire. » Sur France 2 C’est plutĂŽt voltairien. » Sur BFMTV C’est un exercice voltairien. On s’aperçoit qu’aujourd’hui l’humour a disparu. » Il ne reste que Michel Onfray pour avoir le sens de l’humour. On est dans le ricanement, la mĂ©chancetĂ© des grognements de gens qui pouffent et qui estiment que c’est de l’humour. Y a chez Voltaire quelque chose d’autre. » Comme chez Michel Onfray. C’est drĂŽle, c’est malin, c’est subtil, c’est français, d’une certaine maniĂšre. » Comme Michel Onfray. Laurent Ruquier cite un extrait du livre Ă  propos de la chirurgie rĂ©paratrice du clitoris, dont la France est leader. On apprend que l’intervention est prise en charge par le systĂšme de santĂ© publique. Vous ajoutez “Enfin un domaine oĂč la France est pionniĂšre.” Est-ce qu’on n’a pas Ă  s’en enorgueillir ? – Si, bien sĂ»r. Ces temps-ci, on a des problĂšmes avec l’humour, l’ironie, l’intelligence en gĂ©nĂ©ral. » C’est simplement que les gens sont trop idiots pour comprendre l’humour de Michel Onfray quand il moque la chirurgie rĂ©paratrice du clitoris. © France 2 Laurent Ruquier lit un autre passage sur la nuit des CĂ©sars et “l’actrice sĂ©nĂ©galaise AĂŻssa MaĂŻga”
 Pourquoi vous dites “sĂ©nĂ©galaise” ? Elle est française. – Oui, sĂ©nĂ©galaise aussi. Je suis normand, ça ne me gĂȘne pas qu’on le dise. » J’ignorais que Michel Onfray possĂ©dait la double nationalitĂ© franco-normande. Laurent Ruquier poursuit, elle dit “Je ne peux m’empĂȘcher de compter le nombre de Noirs dans la salle.” Vous dites “C’est une autre façon de compter les Blancs, qu’elle estime surnumĂ©raires.” Vous ĂȘtes agacĂ© par les minoritĂ©s revendicatrices, ce qu’on appelle les “woke” ou la “cancel culture”. » Qui n’arrĂȘte pas de canceller Michel Onfray. Tocqueville disait que le risque de la dĂ©mocratie, c’était la tyrannie de la majoritĂ©, rappelle l’invitĂ©. Il avait tort, c’est plutĂŽt la tyrannie des minoritĂ©s. » C’est aussi ce que dit Ivan Rioufol. L’éditorialiste du Figaro et de CNews doit ĂȘtre de gauche sans le savoir. © France 2 Je dois dire qu’on est assez souvent d’accord avec vous, a auparavant fĂ©licitĂ© Laurent Ruquier. Ça frappe au coin du bon sens. Vous ĂȘtes d’accord ? – Tout Ă  fait, oui. » Surprise Michel Onfray admet qu’il a du bon sens. Y a pas besoin de grande dissertation pour comprendre que tout s’effondre. » Sauf la pensĂ©e de Michel Onfray. Parfois, c’est trĂšs radical, prĂ©vient Laurent Ruquier. Par exemple sur Greta Thunberg. Qu’est-ce que vous avez contre cette jeune fille ? – C’est compliquĂ©, la science, sur la question du rĂ©chauffement climatique. Il faudrait avoir fait pas mal d’astrophysique, de la gĂ©omorphologie, une histoire des climats, des cosmogonies, avoir des capacitĂ©s sur la physique quantique. » Et en nĂ©gationnisme Michel Onfray faisait appel aux mĂȘmes sciences en juillet dernier pour dĂ©nier l’origine anthropique du rĂ©chauffement et en rĂ©vĂ©ler les vĂ©ritables causes Il y a des orages magnĂ©tiques dont on ne parle pas. » Parce qu’on ne peut plus rien dire. © France 2 Michel Onfray s’emporte contre une loi qui rend possible les avortements d’enfants qui ont neuf mois. Ça s’appelle des infanticides. Quand cet enfant ne correspond plus Ă  votre projet, on estime que vous avez le droit de tuer cet enfant dans le ventre de la mĂšre. On accouche d’un petit cadavre et on estime qu’on s’est dĂ©barrassĂ© de son projet. – C’est ça la dĂ©cadence, selon vous », entĂ©rine Laurent Ruquier. Sur BFMTV, le philosophe de gauche sert la mĂȘme intox d’extrĂȘme droite. Cette fois, Jean-Baptiste Boursier objecte Ça, c’est factuellement pas correct. L’interruption mĂ©dicale de grossesse, qui n’est pas l’IVG, est permisejusqu’à neuf mois, mais elle est prononcĂ©e par un collĂšge de mĂ©decins pluridisciplinaire. On n’arrive pas Ă  l’hĂŽpital en disant “J’en ai marre, je veux plus de cet enfant.” » Il faut que la santĂ© de la mĂšre ou de l’enfant soit en danger. En outre, cette loi n’est pas encore passĂ©e ». Face Ă  ce dĂ©menti, Michel Onfray n’est pas du tout dĂ©muni Faisons une Ă©mission rien que sur ce sujet, rĂ©clame-t-il. Ça me permettra d’ĂȘtre plus prĂ©cis. » Dans la mythomanie. © France 2 Interdit de penser ! », vitupĂšre encore l’invitĂ© censurĂ©. On ne peut plus penser aujourd’hui, c’est interdit de penser. » Non seulement on ne peut plus rien dire, mais en outre on ne peut plus rien penser. Laurent Ruquier accĂ©lĂšre On va oublier l’affaire du prince Harry
 – Pas du tout, ça m’intĂ©resse, conteste Michel Onfray. C’est l’opposition entre la femme de devoir, Elizabeth, et ces gens qui n’ont plus aucun surmoi, assez reprĂ©sentatifs de leur Ă©poque. » Laurent Ruquier sollicite un autre de ses invitĂ©s Onfray fan de la reine d’Angleterre, ça plaĂźt forcĂ©ment Ă  Thierry Ardisson. – J’ai vu que Michel a Ă©voluĂ© sur la monarchie, s’attendrit l’intĂ©ressĂ©. Il a dit des choses trĂšs gentilles sur Louis XVI. – Mais oui. Il Ă©tait intelligent, cultivĂ©, il voulait construire une monarchie constitutionnelle. » Au point de s’enfuir jusqu’à Varennes pour en assurer la soliditĂ©. Thierry Ardisson complĂšte Il a Ă©tĂ© le premier, avec la vaccine Jenner, Ă  faire vacciner ses enfants, il a donnĂ© l’exemple, on voit la modernitĂ©. » On la voit d’autant mieux que c’est NapolĂ©on qui s’est fait injecter la vaccine Jenner, Louis XVI ayant, lui, subi une variolisation, Ă  la mode dans toutes les cours europĂ©ennes avant d’ĂȘtre supplantĂ©e par la vaccination. © France 2 Autre invitĂ©e, MaĂŻtena Biraben dĂ©fend le constat fait par AĂŻssa MaĂŻga aux CĂ©sars. Elle a parfaitement raison, ce n’est pas du tout reprĂ©sentatif de la sociĂ©tĂ© française. – Il m’arrive d’aller faire des confĂ©rences au Congo, rĂ©torque Michel Onfray, eh ben y a pas beaucoup de Blancs dans la salle. » Perfide, MaĂŻtena Biraben rĂ©plique Y a peu de Congolais blancs et il y a beaucoup de Français noirs. » C’est bien la preuve que les Congolais sont racistes, au contraire des Français. L’écrivain Nicolas Bouchaud reproche Ă  Michel Onfray Dans ce que vous dites, j’entends beaucoup l’opinion, plus que la pensĂ©e. » Le philosophe remet le cuistre Ă  sa place Vous avez le monopole de la pensĂ©e et j’aurais le monopole de l’opinion ? – Je n’aime pas trop quand vous vous mettez dans le rĂŽle de celui qui pense, persiste l’écrivain. – J’ai jamais dit que j’étais philosophe. Non. » Jamais. MĂȘme s’il parlait quelques minutes plus tĂŽt de son travail de philosophe », mĂȘme s’il ne bronche pas quand Laurence Ferrari, Laurent Ruquier et Jean-Baptiste Boursier le prĂ©sentent comme philosophe », mĂȘme s’il publie un livre intitulĂ© Vies philosophiques
 © BFMTV Le dimanche soir, sur BFMTV, Christophe Barbier s’inspire du titre de son livre La Nef des fous. Des nouvelles du Bas-Empire pour interroger Michel Onfray. Le sac de Rome clĂŽt le Bas-Empire en 410. Qui sont aujourd’hui les Wisigoths, les barbares qui vont faire tomber cette civilisation ? » Les musulmans ? Est-ce que ce sont ces gens parfois trĂšs intellectuels, universitaires, dĂ©signant ceux qu’il faut abattre ? » Les islamo-gauchistes ? Est-ce que c’est l’immigration de masse, comme dirait Éric Zemmour, massive, islamisĂ©e ? » Une immigration de masse massive de barbares, on y revient. Est-ce que c’est une puissance Ă©trangĂšre, par exemple les Chinois ? – Vous posez une question magnifique », rĂ©agit Michel Onfray. Une question de gauche, alors. C’est vraiment la question des civilisations, dĂ©taille le philosophe-sauf-quand-on-le-contredit. L’immigration fait que le judĂ©o-christianisme est en train de disparaĂźtre. » C’est le grand remplacement. Je suis assez partisan de la lecture de Huntington. » L’auteur du Choc des civilisations, une bible pour les penseurs de gauche. © BFMTV Christophe Barbier cite un exemple piochĂ© dans le livre C’est la petite fille de 8 ans qui vient dire “J’ai envie d’ĂȘtre un garçon” et on l’applaudit. – Elle dit ça fait quatre ans qu’elle dit “j’ai envie d’ĂȘtre un petit garçon” et tout le monde dit “Formidable.” » Nora Hamadi observe En quoi cette problĂ©matique vous gĂȘne Ă  partir du moment oĂč on est dans le respect de la dignitĂ© humaine ? » Michel Onfray reprend Ă  son compte la devise c’était mieux avant » qui fĂ©dĂšre la gauche On avait des instituteurs jadis qui nous aidaient Ă  constituer une identitĂ©, on avait des parents
 » Depuis dix jours, tous les jours il y a des violences en France, enchaĂźne Jean-Baptiste Boursier. GĂ©rald Darmanin affirme que ce sont les trafiquants de drogue qui, dĂ©rangĂ©s dans leurs affaires, sĂšment le trouble. – Non, c’est un Ă©lĂ©ment de langage, dĂ©plore Michel Onfray. On n’a pas encore vu d’images qui nous montreraient qu’il y a des nettoyages de ces terrains-lĂ . » Au KĂ€rcher ou au fusil-mitrailleur ? Si ça avait lieu, y aurait des images, chacun possĂ©dant un tĂ©lĂ©phone portable Ă©tant susceptible d’ĂȘtre un journaliste. – Un tĂ©moin, corrige Christophe Barbier. Journaliste, c’est aller voir la partie adverse, c’est rééquilibrer
 » Ce que fait Christophe Barbier tous les jours. © BFMTV Ces gens-lĂ  peuvent faire des montages, poursuit Michel Onfray. On a bien vu que pour l’affaire Zecler, tout ça Ă©tait Ă©minemment montĂ©, taillĂ©, coupĂ©, etc. » Tiens, le philosophe-mais-pas-toujours est tellement de gauche qu’il relaie une fake news de la fachosphĂšre. Jean-Baptiste Boursier objecte C’est pas l’avis du confrĂšre qui a sorti cette vidĂ©o. – Ah ben il circule sur Internet un dĂ©montage en bonne et due forme avec des ralentis
 » ApprĂ©ciez le niveau de l’argumentation je l’ai vu sur Internet donc c’est vrai. Tout philosophe qu’il est ou pas, ça dĂ©pend des circonstances, Michel Onfray gagnerait Ă  intĂ©grer une classe de collĂšge pour suivre un cours d’éducation aux mĂ©dias. Comme Michel Onfray conspue les territoires perdus de la RĂ©publique ». Nora Hamadi, prĂ©sentatrice de Vox Pop sur Arte et nouvelle Ă©ditorialiste BFMTV », lui demande Est-ce que ce sont des territoires perdus de la RĂ©publique ou est-ce la RĂ©publique qui les a abandonnĂ©s ? – Y a eu un argent fou dans les banlieues depuis des annĂ©es. » Nora Hamadi dĂ©ment, invoque des Ă©tudes, y compris de l’AssemblĂ©e nationale, [qui] ont montrĂ© que ce sont des territoires sous-dotĂ©s ». © BFMTV Michel Onfray balaie l’argument Dans mon village, il y aussi eu la fin de services publics, de maternitĂ©s, d’hĂŽpitaux, d’écoles
 Et pourtant, on ne met pas le feu. C’est un problĂšme de civilisation. – C’est culturel ?, suggĂšre Nora Hamadi. – Oui, c’est culturel. – Donc les gens qui vivent dans ces quartiers ont culturellement un problĂšme avec la violence ? – Non mais ça fait des annĂ©es que la France tient un discours de haine d’elle-mĂȘme. Y a eu la RĂ©sistance mais y a eu surtout la collaboration, y a eu surtout le colonialisme, la torture, etc. “DĂ©testez-vous”, c’est notre façon de nous aimer dĂ©sormais. » Un discours qui porte seulement dans les quartiers populaires mais auquel savent rĂ©sister les villageois franco-normands. Donc le prĂ©sident de la RĂ©publique qui reconnaĂźt l’assassinat d’Ali Boumendjel pendant la guerre d’AlgĂ©rie, c’est pas une bonne chose, suppose Nora Hmadi. — Sil s’agit de tout mettre sur la table, allons-y. Expliquons ce qui s’est passĂ© entre le MNA et le FLN
 » Quel rapport ? Le MNA et le FLN ont-ils colonisĂ© l’AlgĂ©rie ? 
 Le nombre de morts qui ont Ă©tĂ© faits intramuros entre musulmans. » Tiens, Michel Onfray parle de musulmans » plutĂŽt que d’ AlgĂ©riens », comme les colonialistes de gauche. Parlons de tout ! Parlons de la torture de part et d’autre. Faisons de l’histoire et pas de l’idĂ©ologie. » Michel Onfray, lui, n’en fait jamais. On est lĂ  en train de dire “on va faire de la repentance”
 Non, stop ! » Tiens, c’est Ă©trange, l’homme de gauche emploie le mot repentance » popularisĂ© par la droite nationaliste et officialisĂ© par Nicolas Sarkozy. © BFMTV Jean-Baptiste Boursier poursuit Y a des Ă©lus de plusieurs villes de banlieue françaises qui disent un des Ă©lĂ©ments qui peuvent expliquer l’émergence de ces violences, c’est le Covid, l’enfermement, la privation de liberté  – Mais alors, s’oppose Michel Onfray, pourquoi dans mon village la gendarmerie est lĂ  en train de guetter et met des PV de 135 euros Ă  des gens qui sortent de l’épicerie ? » Et voilĂ , ce sont toujours les pauvres petits blancs des campagnes qui sont discriminĂ©s. Nora Hamadi rappelle Ces jeunes perçus comme non blancs ont vingt fois plus de chances de se faire contrĂŽler dans la rue par des policiers
 » Je crains que BFMTV ait embauchĂ© une Ă©ditorialiste islamo-gauchiste. Ils souffrent de discriminations. Vous pouvez comprendre qu’ils ne se sentent pas accueillis dans la communautĂ© nationale. — Quand je prends des taxis, rĂ©plique Michel Onfray, je vois des gens qui me reconnaissent, qui me parlent, tout Ă  l’heure un monsieur qui Ă©tait malien, l’autre jour quelqu’un qui Ă©tait algĂ©rien, l’autre jour quelqu’un qui Ă©tait haĂŻtien
 » ApprĂ©ciez le niveau d’argumentation du philosophe-mais-pas-tout-le-temps je discute avec des chauffeurs de taxis basanĂ©s, nouvelle version de j’ai un ami noir ». © BFMTV Michel Onfray rĂ©tropĂ©dale C’est pas la communautĂ© maghrĂ©bine ou la communautĂ© malienne qui pose problĂšme. — Donc c’est pas culturel, dĂ©duit Nora Hamadi. – Si, si, c’est culturel. » C’est pas la culture maghrĂ©bine ou malienne mais c’est culturel. 
 Parce qu’ils pensent que la France n’est pas exactement ce qu’on peut leur raconter. » Comme si des policiers pouvaient lacĂ©rer les tentes et confisquer les effets des exilĂ©s de Calais. ConfrontĂ© aux arguments de Nora Hamadi, le philosophe-par-intermittence patauge. Je ne dis pas que ce que vous dites est faux, je dis que ça mĂ©riterait d’ĂȘtre chiffrĂ©. Parce qu’on est dans l’idĂ©ologie en disant “plus contrĂŽlĂ©s”, plus ceci, plus cela, etc. – Les contrĂŽles sont chiffrĂ©s », rĂ©plique Nora Hamadi, citant, parmi d’autres enquĂȘtes idĂ©ologiques », une Ă©tude du DĂ©fenseur des droits ». Et rappelant que la France a Ă©tĂ© condamnĂ©e plusieurs fois par des instances pour contrĂŽles au faciĂšs ». Quand ça se passe, il faut ĂȘtre extrĂȘmement sĂ©vĂšre, convient Michel Onfray. Mais de lĂ  Ă  tirer une conclusion en parlant des violences policiĂšres perpĂ©tuelles
 » Comme si les violences policiĂšres existaient. Moi, quand on m’arrĂȘte pour me contrĂŽler, je trouve pas que ce soit une violence. » Nora Hamadi suggĂšre Peut-ĂȘtre n’ĂȘtes-vous pas contrĂŽlĂ© dix fois par jour, cher Michel Onfray. – Ça dĂ©pend des endroits et des moments. Si je cours en sortant d’un magasin aprĂšs avoir piquĂ©, je suis sĂ»r qu’on va me contrĂŽler. » Rappelons que tous les descendants d’immigrĂ©s sont des voleurs, au contraire des Franco-Normands. © BFMTV Jean-Baptiste Boursier clĂŽt le dĂ©bat. Toutes ces thĂ©matiques seront Ă©videmment au cƓur de la campagne prĂ©sidentielle. » Ça me rĂ©jouit de savoir que les thĂ©matiques de l’élection seront dictĂ©es par un homme de gauche et non par Éric Zemmour. Vous vous dĂ©finissez comme un homme de gauche », enchaĂźne justement le prĂ©sentateur, et Christophe Barbier demande Comment on invente une idĂ©ologie qui permet de dĂ©fendre les petits, ceux qui peuvent ĂȘtre exploitĂ©s, contre les gros ? – Ç’aurait Ă©tĂ© ma rĂ©ponse », affirme Michel Onfray. DĂ©cidĂ©ment, Christophe Barbier est vraiment de gauche pour ainsi deviner ses rĂ©ponses. © BFMTV Michel Onfray vante les socialismes utopiques », Christophe Barbier remarque Les Proudhon, Fourier, ce n’est pas adaptĂ© Ă  un monde mondialisĂ©, technologisĂ©. – Vous avez raison, ça a changĂ©. » Christophe Barbier est vraiment de gauche, il a toujours raison. Tant que nous resterons dans le jacobinisme, ça ne marchera pas, assure Michel Onfray. Tant que nous verrons la possibilitĂ© d’instaurer quelque chose qui pourrait ĂȘtre girondin, ça pourra intĂ©resser les gens. » Il disait la mĂȘme chose sur France 2 J’espĂšre une rĂ©volution qui nous ferait passer du jacobinisme au girondinisme. » Sur BFMTV, il dĂ©veloppe Quand les Girondins s’opposent aux Jacobins, les Jacobins disent “A Paris, on dĂ©cide de tout.” » Encore une fois, admirez le niveau d’argumentation du philosophe utilisant un lieu commun du dĂ©bat politique français » pointĂ© par l’historien CĂŽme Simien dans ce prĂ©cieux article oĂč il rappelle que le jacobinisme est un anachronisme, une invention postĂ©rieure Ă  la pĂ©riode » et dĂ©crit un mouvement trĂšs dĂ©centralisĂ©, structure de sociabilitĂ© politique inĂ©dite pour l’époque ». © BFMTV Jean-Baptiste Boursier s’enquiert Vous en parlez avec des responsables politiques ? – Écoutez, j’ai fait plus de cent vingt bouquins
 » Belle performance, elle devrait lui valoir une mĂ©daille aux Jeux olympiques de la productivitĂ© Ă©ditoriale. 
 J’ai jamais Ă©tĂ© invitĂ© par quelqu’un qui au PS m’aurait dit “ça nous intĂ©resse, ce que vous avez Ă©crit.” » On ne peut plus rien dire, mĂȘme au PS. J’ai Ă©crit un livre qui s’appelait fĂ©eries anatomiques pour parler de bioĂ©thique, je n’étais pas aussi stigmatisĂ© que je suis maintenant mais personne ne m’a dit “Vous pourriez pas nous faire un petit exposĂ© ?” » On ne peut plus rien exposer. Christophe Barbier interroge Et Ă  La France insoumise ? Et chez les Verts ? – Pareil. Parce qu’on n’a pas envie de penser, on a envie d’ĂȘtre réélu
 » Du coup, on nĂ©glige la gĂ©niale pensĂ©e de Michel Onfray Une partie de la gauche ne pense pas, parce qu’elle attend la rĂ©volution, soutient Christophe Barbier. Elle se dit “tout va craquer, attendons qu’il y ait table rase et lĂ  on arrivera, sur les cendres du pays”, avec les Gilets jaunes, avec les Gilets rouges, avec d’autres
 Est-ce que vous pensez que cette mythique [sic] nous empoisonne encore ? – Oui, c’est terrible. » Encore une fois, Michel Onfray approuve l’éditorialiste, preuve que Christophe Barbier est vraiment trĂšs Ă  gauche. Y a pas eu de Nuremberg de gauche, regrette Michel Onfray. Tous les gens qui ont dĂ©fendu Mao
 Pas de problĂšme ! » Christophe Barbier approuve Staline, Pol Pot, Mao, ça peut se dire. » Tous les jours sur BFMTV, sur LCI et sur CNews. En revanche, dĂ©plore l’invitĂ©, Alain de Benoist, invitĂ© nulle part ! Il est coupable de quoi ? D’avoir dĂ©fendu l’OAS quelques mois quand il Ă©tait jeune
 » D’ĂȘtre une rĂ©fĂ©rence de l’extrĂȘme droite identitaire ? Christophe Barbier rĂ©sume Y a deux poids, deux mesures. » L’homme de gauche rejoint l’éditorialiste de gauche Vous avez raison. » C’est toujours l’extrĂȘme droite qui est discriminĂ©e. © BFMTV Un dernier mot, suggĂšre Jean-Baptiste Boursier. Est-ce qu’y a un truc qui vous gonfle chez Onfray ? – Qu’il fasse autant de tĂ©lĂ©s, de radios
 » Pour y dire qu’on ne peut plus rien dire. Toujours trĂšs Ă  gauche, Christophe Barbier prend la dĂ©fense de l’invitĂ© Mais on peut pas faire sans aujourd’hui. — Oui. J’y vais comme un saint Paul qui Ă©vangĂ©lise les masses et les foules. » Je m’y perds Onfray, c’est saint Paul ou Voltaire ? À propos de CNews, Laurence Ferrari Ă©voque lundi dans Punchline le thĂšme occupant 90 % du temps d’antenne de la chaĂźne les jeunes de banlieue qui font rien qu’à ĂȘtre violents. Le discours victimaire, il faut l’arrĂȘter, peste l’inamovible Gabrielle Cluzel. On rĂ©pĂšte sans arrĂȘt qu’il y a pas assez d’argent. Y a eu beaucoup d’argent. On a arrosĂ© avec des milliards, il faut le dire. » D’ailleurs, Michel Onfray le dit aussi — preuve que la directrice du site Boulevard Voltaire, condamnĂ© pour incitation Ă  la haine, est autant de gauche que lui. Laurence Ferrari proteste Mais on l’a dit, on l’a dit ! » Tiens, Laurence Ferrari aussi est de gauche. Le philosophe remplace en plateau Gabrielle Cluzel — une femme de gauche remplacĂ©e par un homme de gauche, l’équilibre est respectĂ©. © CNews Patrick Stefanini, ancien secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du ministĂšre de l’IdentitĂ© nationale sous Sarkozy, devenu l’égĂ©rie de CNews depuis la parution de son livre au titre digne d’une couverture de Valeurs actuelles ou de Marianne – Immigration. Ces vĂ©ritĂ©s qu’on nous cache –, intervient Y a des chiffres qui sont incontestables. Les mineurs, ça pĂšse 10 % de la dĂ©linquance gĂ©nĂ©rale et ça pĂšse 29 % des violences gratuites. » Ces chiffres sont d’autant plus incontestables » que leur source est inconnue et que la catĂ©gorie violences gratuites » n’existe nulle part ailleurs que sur CNews. © CNews Michel Onfray se plaint des Darmanin et consorts clamant qu’ il faut reconquĂ©rir les territoires perdus de la RĂ©publique
 D’accord
 Mais pas d’images. ZĂ©ro image. Ça n’existe pas. – Nan, confirme Laurence Ferrari, on n’a que ces images-lĂ . » Ces images de cinq voitures incendiĂ©es qui tournent en boucle depuis des journĂ©es. L’invitĂ© s’en prend aux enseignants [qui] s’automatisent. À l’école, on est dans le politiquement correct et on n’enseigne plus rien ». On ne peut plus rien enseigner. © CNews Les invitĂ©s de tous bords dĂ©noncent l’échec des centres Ă©ducatifs fermĂ©s, Michel Onfray s’en prend aux Ă©ducateurs-copains. Il faut repenser la sociologie des Ă©ducateurs ». Les recruter Ă  la sortie de l’école de commerce ? Moi, j’ai fait mon service militaire dans l’infanterie de marine, on Ă©duquait par le sport et par l’activitĂ© physique. » C’était le bon temps. Laurence Ferrari Ă©voque les professeurs de Sciences Po Grenoble accusĂ©s d’islamophobie, Michel Onfray rĂ©agit J’espĂšre que l’on va dissoudre l’Unef aprĂšs la dissolution de GĂ©nĂ©ration identitaire. » Laurence Ferrari propose d’entendre le professeur de Trappes devenu Ă©ditorialiste CNews depuis qu’il a dĂ©noncĂ© l’islamisme de ses Ă©lĂšves Didier Lemaire chez Pascal Praud qui explique quelle est sa situation maintenant que les feux de la rampe ne sont plus braquĂ©s sur son cas ». Sauf ceux de CNews. AprĂšs quoi la prĂ©sentatrice s’apitoie C’est un constat terrible de voir la solitude de cet homme. » EntourĂ© par toutes les stars de CNews. Michel Onfray le compare Ă  Salman Rushdie quand il a eu une fatwa ». Et Ă  Giordano Bruno quand il a Ă©tĂ© immolĂ©. Il juge qu’il a Ă©tĂ© prĂ©venant », discret » dans ses dĂ©clarations. Assez discret et prĂ©venant pour rĂ©pandre ses bobards sur CNews, LCI et BFMTV. © CNews Laurence Ferrari revient au cas d’un enseignant de Sciences Po Grenoble, Michel Onfray insiste À l’école, on n’apprend plus Ă  parler donc on n’apprend plus Ă  penser. » Encore un coup des enseignants islamo-pĂ©dagogistes. On dit plus d’orthographe, plus de grammaire, plus de syntaxe, on fait des dictĂ©es Ă  trous. » Sans parler des dictĂ©es Ă  trous en orthographe inclusive. © CNews David Le Bars, du syndicat des commissaires de police, salue sa luciditĂ© Ă  propos des dĂ©linquants Michel Onfray a exactement dĂ©crit ce qui leur passe dans la tĂȘte. » Patrick Stefanini applaudit J’adhĂšre totalement Ă  ce que dit Michel Onfray. » Ce plateau est uniformĂ©ment de gauche. Laurence Ferrari s’y rallie aussi L’autoritĂ© de l’État est totalement dĂ©faillante. » Le dĂ©putĂ© François Pupponi raconte qu’à Dijon le conflit entre TchĂ©tchĂšnes et descendants de MaghrĂ©bins a Ă©tĂ© rĂ©solu Ă  la mosquĂ©e, le philosophe-sur-CNews dĂ©duit La charia fait la loi, et pas le code civil, le code pĂ©nal. » Et voilĂ , la charia fait la loi. C’est un homme de gauche qui le dit. Aussi vrai que CNews est une chaĂźne anticapitaliste dĂ©tenue par un dĂ©colonialiste wokiste, Vincent BollorĂ©. extrĂȘme droite politique Philosophie Islam France 2 BFMTV CNews Michel Onfray Laurence Ferrari Laurent Ruquier Nora Hamadi Christophe Barbier Patrick Stefanini François Pupponi Jean-Baptiste Boursier Voltaire Partager Contribuer Ma vie au poste, le blog de Samuel Gontier International Guerre en Ukraine Rafael Mariano Grossi On ne peut pas ajouter au drame de cette guerre un accident nuclĂ©aire » Le directeur gĂ©nĂ©ral de l’Agence internationale de l’énergie atomique espĂšre pouvoir se rendre trĂšs prochainement sur le site, occupĂ© par les Russes. Read in English Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s AprĂšs avoir rencontrĂ© des responsables russes Ă  Istanbul, le directeur gĂ©nĂ©ral de l’Agence internationale de l’énergie atomique AIEA, Rafael Mariano Grossi, Ă©tait Ă  Paris, jeudi 25 aoĂ»t, pour discuter avec Emmanuel Macron de sa future visite, probable », sur le site de la centrale nuclĂ©aire de Zaporijia, en Ukraine. Une mission dĂ©licate, explique-t-il dans un entretien au Monde, alors que la sĂ»retĂ© de la plus grande centrale d’Europe est mise Ă  mal par la guerre. Lire aussi Guerre en Ukraine, en direct L’Ukraine rebranche la centrale de Zaporijia, Zelensky rĂ©clame la venue de l’AIEA Vous ĂȘtes optimiste quant au fait de pouvoir aller rapidement Ă  Zaporijia. Tous les obstacles Ă  cette mission sont-ils levĂ©s ? Il y a des enjeux politiques, techniques et logistiques Ă  cette visite. Au niveau politique, auparavant, tout le monde n’était pas alignĂ©. Il y a d’abord eu des objections du cĂŽtĂ© ukrainien, puis du cĂŽtĂ© russe
 Mais, depuis mon intervention au Conseil de sĂ©curitĂ© des Nations unies, le 11 aoĂ»t, j’ai senti une impulsion nouvelle. Ce jour-lĂ , les quinze membres du Conseil et l’Ukraine ont pris la parole. Et tous ont fini par se mettre d’accord, en dĂ©pit des diffĂ©rences politiques Ă©videntes et des accusations mutuelles, quant Ă  la nĂ©cessitĂ© de ce dĂ©placement de l’agence en Ukraine. La communautĂ© internationale a compris que le risque Ă©tait trop important on ne peut pas ajouter au drame de cette guerre un accident nuclĂ©aire. Lire aussi Article rĂ©servĂ© Ă  nos abonnĂ©s Guerre en Ukraine la centrale nuclĂ©aire de Zaporijia frĂŽle de nouveau la catastrophe Reste des questions de logistique. C’est un long trajet, l’Ukraine est vaste et il faut la traverser dans des conditions de sĂ©curitĂ© qui ne sont pas idĂ©ales. Nous n’avons pas de blindĂ©s, nous devons compter sur l’appui des vĂ©hicules des Nations unies
 C’est une opĂ©ration oĂč les forces militaires des deux camps doivent travailler ensemble Ă  un moment donnĂ©, par la force des choses, nous passerons des mains ukrainiennes aux mains russes, qui contrĂŽlent Zaporijia. Il nous faut donc des garanties de sĂ©curitĂ©. Par ailleurs, mon intention est qu’aprĂšs cette mission, des experts de l’agence puissent rester en permanence Ă  Zaporijia, et je travaille Ă  un accord en ce sens. A quoi cette mission peut-elle servir ? Elle vise la sĂ©curitĂ© et la sĂ»retĂ© de l’installation, c’est-Ă -dire son fonctionnement normal et sans entrave. Nous commencerons par un Ă©tat des lieux de la situation avant de rĂ©parer l’essentiel, de remettre en route les systĂšmes de transmission qui ont Ă©tĂ© endommagĂ©s. Nous allons Ă©galement inspecter les piscines d’entreposage du combustible usĂ© et nous attaquer Ă  la question sensible de l’approvisionnement en Ă©lectricitĂ©, qui est indispensable au refroidissement des rĂ©acteurs. C’est un problĂšme rĂ©current depuis le dĂ©but des opĂ©rations militaires. L’accident de [la centrale nuclĂ©aire de] Fukushima [au Japon, en 2011] a d’ailleurs eu lieu parce qu’il n’y avait plus de systĂšme de refroidissement. Il vous reste de cet article Ă  lire. La suite est rĂ©servĂ©e aux abonnĂ©s. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă  des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.

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